Pourquoi l’Indice de Masse Corporelle (IMC) n’est peut-être pas le meilleur indicateur pour notre santé ?

20.05.2023

TheFrenchNutrition-Pourquoi l'Indice de Masse Corporelle (IMC) n'est peut-être pas le meilleur indicateur pour notre santé

Connaissez-vous l’IMC, l’Indice de Masse Corporelle ? Cet indice est depuis longtemps l’outil numéro 1, la norme pour mesurer la santé. La formule est très simple :

TheFrenchNutrition-Pourquoi l'Indice de Masse Corporelle (IMC) n'est peut-être pas le meilleur indicateur pour notre santé3

Cette formule est largement utilisée pour déterminer si notre poids se situe dans une fourchette « saine » pour notre taille. Ainsi, l’IMC fournit une estimation du risque global de maladie d’une personne. Il est d’ailleurs utilisé dans le monde entier pour mesurer l’obésité.

Cependant, l’IMC fait l’object de critiques car il peut être inexact dans l’estimation de la graisse corporelle et ne donne pas une image complète de la santé d’une personne. De plus, la recherche montre que se fier uniquement à l’IMC pour prédire le risque de problèmes de santé d’une personne peut être trompeur (1).

Découvrons ce que représente l’IMC, ses limites et comment les différentes méthodes pour pouvoir l’améliorer.

1. Comment l’IMC a été découvert ?

La formule de calcul de l’IMC a été inventée pour la première fois en 1832 par le mathématicien et astronome belge Adolphe Quetelet (2). Pour le calculer, vous devez diviser votre poids en kilogrammes par le carré de votre taille en mètre. Ainsi, chez les adultes l’IMC est classé comme suit (3).

Dans le table ci-contre, voici les différentes catégories en fonction de l’IMC. Ainsi :

  • IMC < 18,5: vous avez un poids inférieur à la normal, vous êtes en sous-poids.
  • 18,5 < IMC < 24,9: vous avez un poids normal.
  • 25,0 < IMC < 29,9: vous êtes en surpoids ou pré-obèse.
  • 30,0 < IMC < 34,9 : vous êtes classés comme étant obèse de classe I (modérée).
  • 35,0 < IMC < 39,9 : vous êtes classés comme étant obèse de classe II (sévère).
  • IMC > 40,0 : vous êtes classés comme étant obèse de classe III (morbide).
TheFrenchNutrition-Pourquoi l'Indice de Masse Corporelle (IMC) n'est peut-être pas le meilleur indicateur pour notre santé4
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Dans le table ci-dessus, voici les différentes catégories en fonction de l’IMC. Ainsi :

  • IMC < 18,5: vous avez un poids inférieur à la normal, vous êtes en sous-poids.
  • 18,5 < IMC < 24,9: vous avez un poids normal.
  • 25,0 < IMC < 29,9: vous êtes en surpoids ou pré-obèse.
  • 30,0 < IMC < 34,9 : vous êtes classés comme étant obèse de classe I (modérée).
  • 35,0 < IMC < 39,9 : vous êtes classés comme étant obèse de classe II (sévère).
  • IMC > 40,0 : vous êtes classés comme étant obèse de classe III (morbide).

2. L’IMC ne mesure pas votre état de santé

Vous avez pu le remarquer, l’IMC est un moyen rapide, facile et peu coûteux de diagnostiquer le surpoids ou l’obésité en ne nécessitant qu’une mesure du poids et de la taille. Il est vrai que l’obésité comporte un risque accru de maladie, y compris les maladies cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux (AVC), et le diabète (4). Ainsi, l’IMC peut identifier les personnes les plus à risque de développer des problèmes de santé. Il est également parfois utilisé pour décider qui reçoit certains traitements et pour évaluer l’efficacité de certaines interventions de perte de poids (5).

Mais, l’IMC à lui seul ne donne pas une image complète du risque pour la santé d’une personne. Car, il s’agit simplement d’une mesure de la taille du corps… et non de la maladie ou de la santé.

En fait, l’IMC ne mesure pas réellement la graisse corporelle, un élément clé lors de l’établissement du risque pour la santé (6). Bien qu’il fournisse une indication approximative de la graisse corporelle, il ne fait pas de distinction entre le poids provenant de la graisse et celui des muscles.

Par exemple, les athlètes de haut niveau, comme les joueurs de rugby ou les sprinters, seraient classés comme « en surpoids » ou « obèses » par leur IMC en raison de leur plus grande masse musculaire. Par conséquent, regarder l’IMC seul donnerait l’impression que les athlètes courent un risque similaire aux mêmes problèmes de santé qu’une personne en surpoids. Alors que la recherche montre que les personnes actives ont un meilleur taux de cholestérol, une meilleure tension artérielle et une glycémie plus faible qu’une personne inactive (7).

Donc, l’IMC ne nous dit rien non plus sur la répartition de la graisse corporelle. La graisse corporelle stockée autour de l’abdomen (une forme de « pomme ») présente un plus grand risque pour la santé que la graisse corporelle stockée autour des hanches (8).

En effet, cette forme de « pomme » est associée à une probabilité accrue de développer un syndrome métabolique (9). Il s’agit d’une combinaison de conditions connexes telles que l’hypertension artérielle, l’hyperglycémie et l’hypercholestérolémie. Et tout cela augmente le risque de maladies cardiaques, d’AVC et de diabète de type 2.

3. Les catégories de l’IMC sont quelque peu arbitraires

Une étude portant sur 13 601 adultes a montré que la prévalence de l’obésité était beaucoup plus faible lors de la définition de l’obésité en utilisant l’IMC au lieu du pourcentage de graisse corporelle (1). Selon cette étude, en utilisant les catégories de l’IMC, moins de personnes souffraient d’obésité. Même si beaucoup auraient été diagnostiquées comme telles en raison de leur pourcentage de graisse corporelle.

Donc, les catégories de l’IMC peuvent être encore moins précises pour prédire les risques pour la santé chez les personnes issues de minorités ethniques et les groupes plus âgés (10).

Par exemple, les personnes asiatiques sont plus à risque de développer un diabète de type 2 et une maladie cardiaque à un IMC inférieur que les personnes de race blanche (11). Cela peut être dû à un pourcentage de graisse corporelle plus élevé à un IMC similaire et/ou à une plus grande tendance à stocker de la graisse autour de l’abdomen.

La recherche montre également que chez les adultes âgés de 65 ans et plus, avoir un « IMC » dans la catégorie « surpoids » n’était pas associé à un risque de décès plus élevé alors qu’un IMC inférieur à 23 l’était (12).

Les plages normales peuvent donc ne pas bien fonctionner pour prédire les risques pour la santé chez les personnes âgées.

De plus, les gens peuvent avoir un IMC « normal » mais avoir un risque accru de maladie cardiaque et de diabète de type 2, en fonction de facteurs tels que leur tension artérielle ou la répartition de la graisse corporelle (13).

En effet, une étude de 2016 a révélé que lorsque l’IMC montrait un résultat de « surpoids », près de la moitié des personnes étaient en fait en bonne santé cardiométabolique (14). D’autre part, 30% des personnes qui entraient dans la catégorie « normales » sur l’échelle de l’IMC se sont avérées en mauvaise santé cardiométabolique. Dans cette étude, les scientifiques ont comparé l’IMC et d’autres indicateurs de santé tels que la glycémie et le taux de cholestérol.

Donc l’IMC n’est pas toujours fiable. Par exemple, mesurer le tour de taille et le pourcentage de graisse corporelle peut être plus utile dans certains cas.

4. Comment améliorer cet indicateur pour notre santé ?

Des indicateurs fiables, abordables et précis de l’état de santé sont importants. L’IMC est facile à mesurer et fournit une estimation approximative du risque de maladie. Mais, même s’il s’agit d’un bon point de départ, l’IMC doit être utilisé parallèlement à d’autres mesures pour obtenir une image plus complète du risque unique pour la santé d’une personne.

  • En effet, il existe une énorme disparité en termes de poids, de revenus, et de mode de vie. Les personnes de statut socio-économique inférieur ont un risque plus élevé de devenir obèses. Et, la raison en est multiple, entre l’accès plus difficile aux soins de santé, aux habitudes préventives et aux activités physiques dans les salle de sport (14).
  • De plus, les mesures de la taille (telles que le tour de taille et le rapport taille-hanches) peuvent estimer la graisse corporelle abdominale. Mais, cela peut être difficile à entreprendre et moins précis chez les personnes ayant un IMC supérieur à 35 (15). Des outils qui décomposent la composition corporelle comme la bio-éléctricité analyse d’impédance et absorptiométrie à rayons X à double énergie, fonctionnent mieux pour estimer la réparation de la graisse corporelle (17). Cependant, ils peuvent être très coûteux, longs et complexes à utiliser. Et, ils ne seraient pas pratiques pour une utilisation quotidienne par les médecins généralistes.
  • L’utilisation d’outils comme la classification d’Edmonton ou EOSS peut fournir une évaluation plus personnalisée du risque pour la santé et de mort précoce chez les personnes obèses (18) (19). Il s’agit de systèmes de notations qui tiennent compte de la santé métabolique, physique et psychologique pour classer les risques pour la santé. Ils sont conçus pour être utilisés avec l’IMC afin d’identifier les personnes qui bénéficieraient le plus d’interventions de gestion du poids. Attention tout de même avec ce genre d’outils est généralement destiné aux médecins. Car il se base sur leur appréciation médicale et leur aptitude à évaluer le patient concernant son mode de vie et son état psychologique. Ce n’est donc pas un outil destiné au grand public !

    Pour conclure

    Il est vrai que l’IMC est un outil pratique et simple pour comprendre le risque de maladie. Cependant, il ne fournit pas une image complète ou entièrement précise de tout ce qui influence notre santé.

    L’utilisation d’autres outils de mesure parallèlement à l’IMC peut fournir une image complète de la santé et du risque de maladie. Ce qui, par conséquent, peut également aider à orienter les décisions concernant les meilleures interventions de santé à utiliser pour une personne spécifique.

    Ainsi, les déterminants sociaux et les facteur liés au mode de vie (tels que le tabagisme, l’activité physique, l’alimentation et les niveaux de stress), la tension artérielle, la glycémie et le taux de cholestérol sanguin doivent tous être pris en compte parallèlement à l’IMC pour établir le risque pour santé. Il faudra également prendre en considération la génétique, l’histoire personnelle et familiale.

    Je rappelle tout de même que je ne suis pas médecin. En aucun cas, vous ne devez arrêter votre traitement médical sans l’avis de votre médecin. Je comprends que lire ou entendre votre médecin vous dire que vous êtes en surpoids et qu’il faut perdre du poids parce que l’IMC le dit puisse être gênant ou démoralisant. Il est vrai que malheureusement certains professionnels de santé ne se basent pas sur d’autres outils pour s’assurer de votre état de santé. De plus, peu de soutien (moral et/ou psychologique) sont fournis lorsqu’il s’agit de perte de poids.

    Dans cet article, je souligne simplement l’inefficacité de l’IMC dans certains cas. Car, même si vous avez un poids « normal », vous pouvez très bien développer certaines pathologies. De la même manière, être classé en « surpoids » alors que vous êtes un sportif de haut niveau ou quelqu’un de très actif n’est pas représentatif de votre état de santé. Dans le cas, des grands sportifs, sachez que la perte de poids pour soi-disant améliorer leur santé n’est pas recommandé sans l’avis et le suivi d’un professionnel de santé.

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    J’espère que cet article vous a plu et vous aidera à guérir votre relation avec votre corps et la nourriture. Si vous avez des questions ou des commentaires, n’hésitez pas à les poster. Je serai ravie de vous entendre !

    TheFrenchNutrition_ma-signature

    Céline Maetti

    Diététicienne

    Je suis moi-même passée par toutes les croyances sur l'alimentation et la santé (régimes, exercices intensifs,...). J'ai traversé de nombreuses étapes avant de comprendre comment tout cela fonctionne.
    Avec plus de 15 ans d'expérience dans l'analyse scientifique, la nutrition et l'enseignement, je souhaite partager avec le plus grand nombre ce que j'ai appris. Parce que être manger ne devrait pas être le centre de votre vie, mais devrait être inclus dans votre vie !

    Si vous avez aimé mon article, laissez moi un petit commentaire laughing.

    Vous souhaitez en savoir plus ? C'est par ici.

    Bibliographie :

    (1) ROMERO-CORRAL A., SOMERS V. K., SIERRA-JOHNSON J., et al. « Accuracy of body mass index in diagnosing obesity in the adult general population » – International Journal of Obesity, 2008, 32, pp. 959 – 966. DOI : 10.1038/ijo.2008.11

    (2) EKNOYAN G. « Adolphe Quetelet (1796-1874) — The average man and indices of obesity » – Nephrol Dial Transplant, 2008, 23(1), pp. 47 – 51. DOI : 10.1093/ndt/gfm517

    (3) WHO. « A healthy lifestyle – WHO recommendations » – WHO, 2010, article internet. Consulté le 30/04/2023 https://www.who.int/europe/news-room/fact-sheets/item/a-healthy-lifestyle—who-recommendations

    (4) WITHROW D. et ALTER D. A. « The economic burden of obesity worldwide: a systematic review of the direct costs of obesity » – Obesity Review, 2011, 12(2), pp. 131 – 141. DOI : 10.1111/j.1467-789X.2009.00712.x

    (5) APPEL L. J., CLARK J. M., YEH H.-C., et al. « Comparative effectiveness of weight-loss interventions in clinical practice » – New England Journal of Medicine, 2011, 365, pp. 1959 – 1968. DOI : 10.1056/NEJMoa1108660

    (6) GOOSSENS G. H. « The metabolic phenotype in obesity: fat mass, body fat distribution, and adipose tissue function » – Obesity Facts, 2017, 10(3), pp. 207 – 215. DOI : 10.1159/000471488

    Bibliographie :

    (7) COLBERG S. R., SIGAL R. J., YARDLEY J. E., et al. « Physical activity/exercise and diabetes : a position statement of the American Diabetes Association » – Diabetes Care, 2016, 39(11), pp. 2065 – 2079. DOI: 10.2337/dc16-1728

    (8) ENGIN A. « The definition and prevalence of obesity and metabolic syndrome » – Obesity and Lipotoxicity, 2017, pp. 1 – 17. DOI: 10.1007/978-3-319-48382-5_1

    (9) CHAIT A., et DEN HARTIGH L. J. « Adipose tissue distribution, inflammation and its metabolic consequences, including diabetes and cardiovascular disease » – Frontiers Cardiovasc. Med, 2020, 7. DOI: 10.3389/fcvm.2020.00022

    (10) STOMMEL M., et SCHOENBORN C. A. « Variations in BMI and prevalence of health risks in diverse racial and ethnic populations » – Obesity, 2010, 18(9), pp. 1821 – 1826. DOI: 10.1038/oby.2009.472

    (11) WHO Expert consultation. « Appropriate body-mass index for Asian populations and its implications for policy and intervention strategies » – The Lancet, 2004, 363(9403), pp. 157 – 163. DOI: 10.1016/S0140-6736(03)15268-3

    (12) WINTER J. E., MACLNNIS R. J., WATTANAPENPAIBOON N., et al. « BMI and all-cause mortality in older adults: a meta-analysis » – The American Journal of Clinical Nutrition, 2014, 99(4), pp. 875 – 890. DOI: 10.3945/ajcn.113.068122

    (13) MATHEW H., FARR O. M., et MANTZOROS C. S. « Metabolic health and weight : understanding metabolically unhealthy normal weight or metabolically healthy obese patients » – Metabolism, 2016, 65(1), pp. 73 – 80. DOI: 10.1016/j.metabol.2015.10.019

    Bibliographie :

    (14) LAKERVELD J., et MACKENBACH J. « The Upstreamdeterminants of adults obesity » – Obesity Facts, 2017, 10(3), pp. 216 – 222. DOI: 10.1159/000471489

    (15) TOMIYAMA A. J., HUNGER J. M., NGUYEN-CUU J., et al. « Misclassification of cardiometabolic health when using body mass index categories in NHANES 2005-2012 » – International Journal of Obesity, 2016, 40(5), pp. 883 – 886. DOI: 10.1038/ijo.2016.17

    (16) HARVARD T.H. CHAN. « Measuring Obesity » – HARVARD, Obesity Prevention Source, article internet. Consulté le 30/04/2023 https://www.hsph.harvard.edu/obesity-prevention-source/obesity-definition/how-to-measure-body-fatness/

    (17) DUREN D. L., SHERWOOD R. J., CZERWINSKI S. A., et al. « Body Composition Methods: Comparisons and Interpretation » – Journal of Diabetes Sciences Technology, 2008, 2(6), pp. 1139 – 1146. DOI : 10.1177/193229680800200623

    (18) SWALEH R., MCGUCKIN T., MYRONIUK T. W., et al. « Using the Edmonton Obesity staging system in the real world: a feasibility study based on cross-sectional data » – CMAJ, 2021, 9(4), pp. E1141-E1148. DOI: 10.9778/cmajo.20200231

    (19) PADWAL R. S., PAJEWSKI N. M., ALLISON D. B., et al. « Using the Edmonton obesity staging system to predic mortality in a population representative cohort of people with overweight and obesity » – CMAJ, 2011, 183(14), pp. E1059 – E1066. DOI : 10.1503/cmaj.110387

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